Néné Nkulu remet de l’ordre dans le secteur des sociétés privées de placement et de la sous-traitance

Madame la ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale, Néné Ilunga Nkulu a réuni, lundi 28 octobre, les responsables des services privés de placement, ceux des sociétés de sous-traitance ainsi que les représentants des travailleurs du secteur du commerce. Néné Ilunga Nkulu leur a parlé de ce qu’elle compte faire pour la bonne marche de son secteur, en tapant du poing sur la table concernant le désordre qu’entretiennent, en général, les  sociétés privées de placement, et de sous-traitance. Concernant les travailleurs du secteur du commerce, la ministre d’État s’est indignée du fait que les employeurs ne respectent pas l’horaire de travail des employés. Ceux-ci ont plusieurs revendications, entre autres le paiement de leurs heures supplémentaires et jours fériés, l’amélioration des conditions de travail et l’application du Smig. D’après Néné Nkulu, ces revendications avaient déjà fait l’objet d’un protocole d’accord tripartite, signé en mars 2019, mais dont l’application pose problème. « Après analyse du contour de toutes les revendications, j’ai cerné le problème et mon intervention ne peut que s’inscrire dans le strict respect des dispositions légales et règlementaires en la matière », a-t-elle rassuré.

Des sociétés non en règles

La ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale, comptant mettre fin à l’anarchie, a rappelé que le désordre dans lequel les sociétés de placement évoluent date d’il y a longtemps, voire même des missions de contrôle avaient été diligentées, et un arrêté signé pour interdire leur fonctionnement. Et Madame la ministre de fustiger le fait que quelques services de placement continuent à braver les dispositions légales et règlementaires, malgré l’interdiction. Elle en a profité pour rappeler le prescrit de l’arrêté ministériel N°047 du 08 octobre 2015 fixant les conditions d’ouverture, d’agrément et de fonctionnement des services privés de placement.

La communication du jour   

La ministre d’Etat Nkulu a annoncé, par ailleurs, la mise en place d’une commission ad hoc, qui aura pour mission de vérifier si les travailleurs employés par les services et placés au sein des entreprises ont signé des contrats, et s’ils sont déclarés à la CNSS pour leur protection sociale, conformément à la loi. La commission ad hoc devrait aussi relever dans l’arrêté agréant les sociétés de placement les points qui posent problème et faire de propositions pour une voie de sortie. Elle pourra enfin, évaluer le protocole d’accord tripartite signé en mars 2019 entre le gouvernement de la République, le banc Employeurs et Intersyndicale du secteur du commerce. Ainsi, après évaluation des conditions de travail dans le secteur, la commission ad hoc devrait dresser un rapport en vue de permettre à Madame Néné de trouver des solutions durables aux revendications, le cas échéant sanctionner tous les services opérant dans la violation des dispositions légales et règlementaire.

Elle a appelé les uns et les autres à s’approcher de la commission ad hoc qu’elle va présider dans le but de désigner les experts qui y prendront part. Avant de finir, Madame Néné  a affirmé qu’elle compte convoquer le conseil national du travail et ce après une concertation tripartite pour traiter de certaines questions.

Madame la ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale, Néné Ilunga Nkulu a réuni, lundi 28 octobre, les responsables des services privés de placement, ceux des sociétés de sous-traitance ainsi que les représentants des travailleurs du secteur du commerce. Néné Ilunga Nkulu leur a parlé de ce qu’elle compte faire pour la bonne marche de son secteur, en tapant du poing sur la table concernant le désordre qu’entretiennent, en général, les  sociétés privées de placement, et de sous-traitance. Concernant les travailleurs du secteur du commerce, la ministre d’État s’est indignée du fait que les employeurs ne respectent pas l’horaire de travail des employés. Ceux-ci ont plusieurs revendications, entre autres le paiement de leurs heures supplémentaires et jours fériés, l’amélioration des conditions de travail et l’application du Smig. D’après Néné Nkulu, ces revendications avaient déjà fait l’objet d’un protocole d’accord tripartite, signé en mars 2019, mais dont l’application pose problème. « Après analyse du contour de toutes les revendications, j’ai cerné le problème et mon intervention ne peut que s’inscrire dans le strict respect des dispositions légales et règlementaires en la matière », a-t-elle rassuré.

Des sociétés non en règles

La ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale, comptant mettre fin à l’anarchie, a rappelé que le désordre dans lequel les sociétés de placement évoluent date d’il y a longtemps, voire même des missions de contrôle avaient été diligentées, et un arrêté signé pour interdire leur fonctionnement. Et Madame la ministre de fustiger le fait que quelques services de placement continuent à braver les dispositions légales et règlementaires, malgré l’interdiction. Elle en a profité pour rappeler le prescrit de l’arrêté ministériel N°047 du 08 octobre 2015 fixant les conditions d’ouverture, d’agrément et de fonctionnement des services privés de placement.

La communication du jour   

La ministre d’Etat Nkulu a annoncé, par ailleurs, la mise en place d’une commission ad hoc, qui aura pour mission de vérifier si les travailleurs employés par les services et placés au sein des entreprises ont signé des contrats, et s’ils sont déclarés à la CNSS pour leur protection sociale, conformément à la loi. La commission ad hoc devrait aussi relever dans l’arrêté agréant les sociétés de placement les points qui posent problème et faire de propositions pour une voie de sortie. Elle pourra enfin, évaluer le protocole d’accord tripartite signé en mars 2019 entre le gouvernement de la République, le banc Employeurs et Intersyndicale du secteur du commerce. Ainsi, après évaluation des conditions de travail dans le secteur, la commission ad hoc devrait dresser un rapport en vue de permettre à Madame Néné de trouver des solutions durables aux revendications, le cas échéant sanctionner tous les services opérant dans la violation des dispositions légales et règlementaire.

Elle a appelé les uns et les autres à s’approcher de la commission ad hoc qu’elle va présider dans le but de désigner les experts qui y prendront part. Avant de finir, Madame Néné  a affirmé qu’elle compte convoquer le conseil national du travail et ce après une concertation tripartite pour traiter de certaines questions.

 

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